Une seule Eglise catholique ? Non ! (suite)
L'Eglise catholique libérale n'est certes pas celle qui compte le plus de fidèles, mais elle diffère des autres par ses dogmes très différents.
Il faut tout d'abord aborder l'histoire, outrageusement résumée, de la Société théosophique, créée par Helena Petrovna Blavatsky (1831-1891).
Créée elle le fut à New York en 1875, par la précitée, ancien médium spirite, aidée en cela par le colonel Olscott et un certain William Judge. Pour faire bref, comme vous l'espérez j'en suis sûr, disons qu'il s'agit d'un mélange d'occultisme et d'orientalisme. H.P. Blavatsky affirmait recevoir des messages d'un "Maître" hindou. Elle fréquenta des hindouiste, bien réels ceux-là, et des bouddhistes. Il en naquit la dite Société théosophique, dont Gandhi affirmait qu'il s'agissait d'un pur hindouisme des plus purs... Plus curieux encore, Einstein avait fait des oeuvres de Mme Blavatsky ses livres de chevet !
Lorsque cette occultiste de renom décéda, lui succéda alors Annie Besant (1847-1933), amie (n'allez rien imaginer) avec un certain Leabeater, qui fut le parrain spirituel de Krishnamurti., avant que celui-ci ne rompe avec la S.T.
Mais le but, ici, n'est pas de faire l'historique de la dite Société, mais de l'Eglise catholique libérale, répandue dans le monde entier, mêm si elle ne compte qu'un nombre limité de fidèles.
En 1915 des théosophes, anglais majoritairement, décident de créer une Eglise à laquelle des théosophes, nostalgiques du christianisme pourraient adhérer. Parmi eux Leadbeater, Wedgwood, et d'autres encore.
Ils devaient, pour fonder une Eglise, poséder la fameuse (fumeuse?) succession apostolique. Ils s'dressèrent à un évêque de l'Eglise vieille-catholique d'Angleterre, auparavant consacré par un évêque de l'Eglise vieille-catholique de l'Union d'Utracht,qui accepta de consacrer Leabeater qui devint ainsi évêque "vieux-catholique angalis.
Cette Eglise péréclitait, et Mgr Leadbeater créa alors, avec l'accord et le soutient d'Annie Besant, l'Eglise catholique libérale qui, très vite, recruta des adeptes parmi les membres de la Société théosophique.
Il faut avoir que les autres Eglises chrétiennes condamennt l'Eglise libérale, pour cause de déviations doctrinales. En effet, elle affirme qu'il existe une doctrine commune à toutes les religions, chrétiennes ou non, lesquelles ont ététoutes inspirées par Dieu.
Ce dogme l'a amenée à reconnaître toutes les religions comme vraies, et à éviter le prosélytisme. "Vous êtes catholique romain, ou bouddhiste, restez le!".Voilàce que vous diraz un prêtre catholique libéral si vous vous présentez pour assister à une messe. Telle est la tolérance très large des catholiques libéraux. Tout personne assitant à un office à le droitde recevoir la communion. Rien n'est exigé d'autre que dêtre croyant, même vaguement. Point barre !
La Bible est considérée par cette Eglise, à laquelle adhèrent généralement des personnes d'un certain niveau intellectuel, et souvent d'un niveau intellectuel certain, comme un Livre saint parmi d'autres. Indignation, par conséquent, des Eglises romaine et autres.
Lors de la messe libérale, un édifice, vu seulement par les clairvoyants, est bâti par des anges. Ils l'élèvent durant tout l'office, et, à la fin de celui-ci des vibrations favorables se répandent à l'extérieur. Pour le reste cette messe est semblable à celle d'avant Vatican II, mais dite en langue vulgaire.
Certains affirment que Leabeater et d'autres dirigeants eurent des démèllés ave la justice, pour fait de moeurs. Ils furent certes accusés, mais jamais une action devant les tribunaux ne fut entreprise. Dès lors ils bénéficient de la présomption d'innocence, même si des doutes sérieux demeurent.
Mgr Leabeater était franc-maçon, membre de la Fédération anglaise du Droit Humain. Dans un de ses ouvrages, "Le côté occulte de la franc-maçonnerie", il narre que lorsqu'il fut accepté comme Apprenti, il revit l'initiation qu'il avait vécu dans l'Egypte antique, laquelle était, c'est bien connu (sic!), peuplées de nombreux francs-maçons. Il décrit même l'action des anges, comme lors des offices de son Eglise, lesquels volent au dessus des frères et soeurs de la loge, lesquel ne les voient pas (mais c'est bien sûr!), pour se disperser ensuite lors de la fermeture des Travaux...
Aujourd'hui cette Eglise, par ailleurs honorable, c'est scindée en deux : l'Eglise catholique libérale, et l'Eglise catholique libre. Il s'agit d'une querelle de personnes et portant sur des points de détails, et non de doctrine.
Au sujet des anges "volants", il faut savoir que plusieurs saint(e)s de l'Eglise romaine sont réputés pour avoir jouit de facultés telles que la bilocation (se trouver en deux endroits à la fois), ou de lévitation, ou d'autres phénomènes encore. Alors la question est posée : un catholique romain peut-il s'esclaffer lorsqu'un libéral lui parle des anges virevoltant au cours des offices ou des réunions maçonniques ?
Il est possible de citer des dizaines d'autres Eglise catholique : gallicane - mariavite - catholique orthodoxe - etc... parfois séparées de Rome depuis Vatican II. Mais n'ayant pas la vocation d'enquiquineur, ce qui n'empêche, dit-on, que je le sois parfois, j'en reste là, en signalant l'existence d'autres papes que Benoit XVI, notamment deux Pierre II, un Clément XVII et d'autres encore. Certaines Eglise catholiques s'étant déclarées sédévacantaires, c'est à dire ne reconnaissant pas le pape et considérant que le siège de St Pierre reste vide... les paes, depuis Paul VI étant des imposteurs. Mais celà est une autre histoire. Pour plus tard peut-être.
Il faut tout d'abord aborder l'histoire, outrageusement résumée, de la Société théosophique, créée par Helena Petrovna Blavatsky (1831-1891).
Créée elle le fut à New York en 1875, par la précitée, ancien médium spirite, aidée en cela par le colonel Olscott et un certain William Judge. Pour faire bref, comme vous l'espérez j'en suis sûr, disons qu'il s'agit d'un mélange d'occultisme et d'orientalisme. H.P. Blavatsky affirmait recevoir des messages d'un "Maître" hindou. Elle fréquenta des hindouiste, bien réels ceux-là, et des bouddhistes. Il en naquit la dite Société théosophique, dont Gandhi affirmait qu'il s'agissait d'un pur hindouisme des plus purs... Plus curieux encore, Einstein avait fait des oeuvres de Mme Blavatsky ses livres de chevet !
Lorsque cette occultiste de renom décéda, lui succéda alors Annie Besant (1847-1933), amie (n'allez rien imaginer) avec un certain Leabeater, qui fut le parrain spirituel de Krishnamurti., avant que celui-ci ne rompe avec la S.T.
Mais le but, ici, n'est pas de faire l'historique de la dite Société, mais de l'Eglise catholique libérale, répandue dans le monde entier, mêm si elle ne compte qu'un nombre limité de fidèles.
En 1915 des théosophes, anglais majoritairement, décident de créer une Eglise à laquelle des théosophes, nostalgiques du christianisme pourraient adhérer. Parmi eux Leadbeater, Wedgwood, et d'autres encore.
Ils devaient, pour fonder une Eglise, poséder la fameuse (fumeuse?) succession apostolique. Ils s'dressèrent à un évêque de l'Eglise vieille-catholique d'Angleterre, auparavant consacré par un évêque de l'Eglise vieille-catholique de l'Union d'Utracht,qui accepta de consacrer Leabeater qui devint ainsi évêque "vieux-catholique angalis.
Cette Eglise péréclitait, et Mgr Leadbeater créa alors, avec l'accord et le soutient d'Annie Besant, l'Eglise catholique libérale qui, très vite, recruta des adeptes parmi les membres de la Société théosophique.
Il faut avoir que les autres Eglises chrétiennes condamennt l'Eglise libérale, pour cause de déviations doctrinales. En effet, elle affirme qu'il existe une doctrine commune à toutes les religions, chrétiennes ou non, lesquelles ont ététoutes inspirées par Dieu.
Ce dogme l'a amenée à reconnaître toutes les religions comme vraies, et à éviter le prosélytisme. "Vous êtes catholique romain, ou bouddhiste, restez le!".Voilàce que vous diraz un prêtre catholique libéral si vous vous présentez pour assister à une messe. Telle est la tolérance très large des catholiques libéraux. Tout personne assitant à un office à le droitde recevoir la communion. Rien n'est exigé d'autre que dêtre croyant, même vaguement. Point barre !
La Bible est considérée par cette Eglise, à laquelle adhèrent généralement des personnes d'un certain niveau intellectuel, et souvent d'un niveau intellectuel certain, comme un Livre saint parmi d'autres. Indignation, par conséquent, des Eglises romaine et autres.
Lors de la messe libérale, un édifice, vu seulement par les clairvoyants, est bâti par des anges. Ils l'élèvent durant tout l'office, et, à la fin de celui-ci des vibrations favorables se répandent à l'extérieur. Pour le reste cette messe est semblable à celle d'avant Vatican II, mais dite en langue vulgaire.
Certains affirment que Leabeater et d'autres dirigeants eurent des démèllés ave la justice, pour fait de moeurs. Ils furent certes accusés, mais jamais une action devant les tribunaux ne fut entreprise. Dès lors ils bénéficient de la présomption d'innocence, même si des doutes sérieux demeurent.
Mgr Leabeater était franc-maçon, membre de la Fédération anglaise du Droit Humain. Dans un de ses ouvrages, "Le côté occulte de la franc-maçonnerie", il narre que lorsqu'il fut accepté comme Apprenti, il revit l'initiation qu'il avait vécu dans l'Egypte antique, laquelle était, c'est bien connu (sic!), peuplées de nombreux francs-maçons. Il décrit même l'action des anges, comme lors des offices de son Eglise, lesquels volent au dessus des frères et soeurs de la loge, lesquel ne les voient pas (mais c'est bien sûr!), pour se disperser ensuite lors de la fermeture des Travaux...
Aujourd'hui cette Eglise, par ailleurs honorable, c'est scindée en deux : l'Eglise catholique libérale, et l'Eglise catholique libre. Il s'agit d'une querelle de personnes et portant sur des points de détails, et non de doctrine.
Au sujet des anges "volants", il faut savoir que plusieurs saint(e)s de l'Eglise romaine sont réputés pour avoir jouit de facultés telles que la bilocation (se trouver en deux endroits à la fois), ou de lévitation, ou d'autres phénomènes encore. Alors la question est posée : un catholique romain peut-il s'esclaffer lorsqu'un libéral lui parle des anges virevoltant au cours des offices ou des réunions maçonniques ?
Il est possible de citer des dizaines d'autres Eglise catholique : gallicane - mariavite - catholique orthodoxe - etc... parfois séparées de Rome depuis Vatican II. Mais n'ayant pas la vocation d'enquiquineur, ce qui n'empêche, dit-on, que je le sois parfois, j'en reste là, en signalant l'existence d'autres papes que Benoit XVI, notamment deux Pierre II, un Clément XVII et d'autres encore. Certaines Eglise catholiques s'étant déclarées sédévacantaires, c'est à dire ne reconnaissant pas le pape et considérant que le siège de St Pierre reste vide... les paes, depuis Paul VI étant des imposteurs. Mais celà est une autre histoire. Pour plus tard peut-être.